Santiago Montobbio en Archives et Musée de la Littérature de la Bibliothèque Royale de Belgique (Bruxelles)

Foto: Anna Xalabarder

Fuente:  Archives et Musée de la Littérature de la Bibliothèque Royale de Belgique


 [Articles de et à propos de] Santiago Montobbio de Balanzó

Résumé
On trouve d’abord un texte de Montobbio (en photocopie, provenant d’un site internet) : "Europa : un café nunca està lejos", prononcé le 25.3.1999 à Paris lors de la table ronde "L’Europe vue par des écrivains", dont le feuillet de présentation est joint (10144/1-2). Suivent des notices bio- et bibliographiques et des extraits de ses œuvres poétiques, tirés du site internet "Catedra Miguel Delibes" (/3). Sont rassemblés ensuite la retranscription de la correspondance qu’il a reçue en 1989-1990 et les photocopies des lettres originales de : Onetti, Sabato, Idea Vilarino, Miguel Delibes, Cela, Carmen Martin Gaite, Carme Riera, Antonio Gala, Pablo Garcia Baena (/4-5). Un autre lot de photocopies de correspondances (années 2005-2006) rassemble cartes et courriers électroniques de : Miguel Delibes, Munoz Molina, Eloy Sanchez Rosillo, Martha Canfield, Rodriguez Padron, Gabriele Morelli à propos du recueil "El anarquista de las Bengalas" (/6). Des extraits de revues sont joints (en photocopie) : Europe plurilingue, n° 24, avril 2002 (/7), avec un "Panorama de la poesia ultima espanola" consacré entre autres à Montobbio (par Jean-Luc Breton) ; un article de Giuseppe Bellini sur Montobbio dans Notiziario, nº 18, "La Pagina", Istituto di Storia dell'Europa Mediterránea, Consiglio Nazionale delle Ricerche-Università degli Studi de Milano, Milano, Novembre 2005 (/8) ; trois articles relatifs au Prix Quijote 2006 (/9) ; un article sur Montobbio dans El Boletin ACEC, n° 67, noviembre-diciembre 2006 (/10) ; un entretien avec Montobbio dans El Ciervo, n° 672, Marzo 2007 (/11).

Santiago Montobbio

Santiago Montobbio
Foto: Anna Xalabarder

Volvió a escribir

después de 20 años de silencio. Entonces Ernesto Sábato, Miguel Delibes, Juan Carlos Onetti y Camilo José Cela describieron su poesía como honda, misteriosa, envidiable.
Es Santiago Montobbio (Barcelona, 1966) de esa estirpe de poetas que cosechan el misterio en la cotidianeidad, que se transportan con ligereza a ese otro lado donde está la sombra alumbrada y vuelve sembrado de palabras tan sencillas como poderosas, tan sobrenaturales como humanas.
(María García Esperón)